Bonjour,jeanlachaud1 wrote: ↑05 February 2023, 13:42 Bonjour,
Avant de poursuivre sur des hypothèses délirantes, on conseille de relire la page du blog annonçant la mie en ligne de l'indexation du « Fond de Moscou »
(https://www.geneanet.org/blog/post/2023/01/lindexation-collaborative-fonds-de-moscou-terminee), en particulier ces phrases :
Il est donc, en particulier évident que, s'il y a une chose que les personnes dont le nom y figuent ne peuvent pas être, c'est résistant.
- « A partir des années 1870, les services de la sûreté nationale établissent des dossiers individuels...
...
Ce fonds s’interrompt brusquement en 1940 pour une raison très simple : saisi par les forces d’occupation allemandes en 1940, il est transféré à Berlin, avant d’être emporté en 1945 à Moscou par l’Armée Rouge après la capitulation du régime nazi. »
Nous sommes dans un contexte polonais. Il convient de comprendre qu'il s'agit d'une résistance très éprouvée, qui a commencé bien avant la Seconde Guerre mondiale lors du partage de la Pologne après le Congrès de Vienne en 1815.
Puis se sont ajoutés aussi bien les événements de 1917 en Russie, et, bien sûr, l'antisémitisme fasciste lors de l'arrivée au pouvoir de Hitler.
Je ne vois donc pas ce qu'il y a de "délirant" à parler d'une résistante polonaise juive à Paris. D'ailleurs le Fonds de Moscou reprend bien des noms de personnes polonaises juives pour lesquelles un dossier a été constitué.
En l'absence de précision sur la nature de la résistance polonaise de la grande tante de Séverine j'ai simplement invité cette dernière à apporter plus d'informations sur l'engagement de sa parente, lui suggérant, entre autres, une appartenance, certes peu probable, au Bund, créé après le début de la Deuxième Guerre mondiale. La question reste donc ouverte.
Andrée