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Aide à l'indexation des inventaires de Me Antoine de Monroussel (1619 à 1628)

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Inventaires de Antoine de Monroussel - AN ET-CIX-168A (1624-1628)

[...]
689 B
754 JD
769 JD

772 Ch
776 Ch

785 JD
800 JD

806 Ch
822 Ch

833 Ch
842 Ch

848 JD
871 JD

877 B
883 JD
887 JD

901 Ch
903 Ch
907 Ch
914 Ch

940 Ch

Plus deux :

[168A - 757] 20 janvier 1628 – Inventaire dressé à la requête de Pierre HARLET, maître teinturier en fil et soie à Paris, y demeurant rue du Petit-Pont, en la maison de la Clef-d’Argent, paroisse Saint-Séverin, et de Jeanne LE DEVIN, à présent sa femme, de lui autorisée, et auparavant veuve de feu Thomas PINEAU, aussi maître teinturier en fil et soie à Paris, en leurs noms à cause de la communauté de biens qui a été entre ledit défunt et ladite veuve, que comme tuteurs élus conjointement de Jean PINEAU, âgé de 12 ans et Jean PINEAU, âgé de 6 ans et demi, enfants mineurs dudit défunt et de ladite veuve, en la présence de Pierre BENOISE, maître orfèvre à Paris, demeurant rue de la Vannerie, paroisse Saint-Jean, tant en son nom, à cause d’Élisabeth / Isabelle PYNEAU sa femme, que comme subrogé tuteur desdits mineurs, suivant la clause apposée au contrat de mariage entre lesdits HARLET et LE DEVIN.
Les biens étant en ladite maison de la Clef-d’Argent, où ledit défunt est décédé.

[168A - 769] 30 janvier 1628 – Inventaire dressé à la requête d’Hélène DESTOIS, veuve de feu Jean LEFRANC, cordonnier, demeurant à Paris, rue Saint-Jacques, paroisse Saint-Séverin, et de Jean ROUSSEAU, marchand boulanger demeurant à la porte de Montmartre, paroisse Saint-Eustache, ladite DESTOIS, tant en son nom, à cause de la communauté de biens qui a été entre ledit défunt et elle, que comme tutrice avec ledit ROUSSEAU, conjointement, de Marie LEFRANC et Jean Philippe LEFRANC, enfants mineurs dudit défunt et d’elle, et pour satisfaire à la clause apposée au contrat de mariage entre ledit ROUSSEAU et ladite DESTOIS, et en la présence de Robert DESTOIS, compagnon chapelier à Paris, y demeurant rue Saint-Denis, subrogé tuteur desdits mineurs.

Bonne soirée à tous.
JD
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Bonjour à tous,

auxquels j'ajoute :

[168A–772] Le 24 janvier 1628. Inventaire après le décès de Melchior BOUCHER dit LATOUR, chevaucheur de l’écurie du Roi. A la requête de Catherine PERIGON, sa veuve, demeurant à Paris, rue [blanc], paroisse Saint [blanc], tant en son nom que comme tutrice de François, âgé de 5 ans, et de Louise BOUCHER, âgée de 3 ans, leurs enfants mineurs. Et en la présence de Guillaume MELINE, marchand libraire demeurant ès faubourgs Saint-Germain-des-Prés, rue du Four, paroisse Saint-Sulpice, subrogé tuteur desdits mineurs. Et encore en la présence de Hugues BOUCHER, aussi dit LATOUR, fils du défunt et de feue Isabelle LEROUX, sa première femme, demeurant rue Saint-Jacques, paroisse Saint-Séverin. Les biens étant en une maison sise rue du Plâtre, paroisse Saint-Séverin, en laquelle le défunt tomba malade de mal contagieux dès le 15 novembre dernier, et depuis porté à l’hôpital Saint-Louis, où il est décédé.
(vue 774) cote 1 : 1616 – Contrat de mariage (Melchior BOUCHER dit) LATOUR x Catherine PERIGON.
(vue 775) cote 3 : 1616 – Transaction entre Melchior BOUCHER dit LATOUR d’une part et Charles SALLART marchand à Paris, tant en son nom que comme subrogé tuteur de Hugues BOUCHER son frère utérin, iceux SALLART et Hugues BOUCHER, seuls héritiers de défunte Elisabeth LEROUX, leur mère, au jour de son décès, femme dudit Melchior BOUCHER, d’autre part, pour raison de la communauté continuée entre lesdits SALLART, Hugues BOUCHER, ledit Melchior BOUCHER et ses enfants de lui et de défunte Marie BOULLENGER, jadis sa femme.

[168A–776] Le 28 janvier 1628. Inventaire après le décès de Henriette AIGRON. A la requête de son mari, maître Michel CHAUSSEPIED, procureur en la cour de Parlement, demeurant à Paris, rue Saint-Jacques, paroisse Saint-Benoît, tant en son nom que comme tuteur de Henriette, âgée de 8 ans ou environ, et Marie (CHAUSSEPIED), âgée de 18 mois ou environ, leurs enfants mineurs. Et en la présence de noble homme maître Pierre CHAUSSEPIED, sieur de Puigmartin (=Puymartin), avocat en ladite cour, demeurant en ladite rue et paroisse, oncle et subrogé tuteur desdits mineurs, par acte du 24 janvier 1628. Les biens montrés par ledit Michel CHAUSSEPIED et par Marguerite PERON sa tante.
(vue 783) cote 1 : 1618 – Contrat de mariage Michel CHAUSSEPIED x Henriette AIGRON. Noble homme Abraham AIGRON, sieur de la Mothe, conseiller et élu contrôleur en l’élection d’Angoulmois promet 4 800 livres.

A plus tard,
Christophe.
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Hello,

ma progression :

[168A–806] Le 18 mai 1628. Inventaire après le décès de maître Charles DU VAL, notaire et procureur ès cours ecclésiastiques et greffier de l’officialité de Paris. A la requête de honorable femme Geneviève GOBELIN, sa veuve, demeurant rue Saint-Jean-de-Beauvais, paroisse Saint-Etienne-du-Mont, en son nom à cause de la communauté qu’elle a eu avec ledit défunt son mari. (A la requête) de maître Charles DU VAL, notaire et procureur èsdites cours ecclésiastiques, demeurant en ladite rue et paroisse, maître Jean DU VAL, maître ès arts en l’Université de Paris, émancipé par justice, sous l’autorité de maître Claude CHAUVIN, procureur en la cour de Parlement, son curateur, honorable homme Jean LOBINOIS, écuyer de cuisine de la bouche de Monsieur, frère du Roi, en son nom à cause de Marie DU VAL sa femme, et de noble homme maître Pierre JARDÉ, avocat en la cour de parlement, aussi en son nom à cause de Catherine DU VAL sa femme. Tous demeurant en ladite même rue et paroisse. Lesdits Charles, Jean, Marie et Catherine DU VAL, frères et sœurs, habiles à se dire et porter héritiers du défunt leur père.
(vue 814) cote 1 : 1587 – Contrat de mariage DU VAL x GOBELIN.
(vue 814) cote 2 : 1561 – Sentence d’acquisition adjugée à maître Charles DU VAL, père du défunt.
(vue 814) cote 3 : 1598 – Maître François DU VAL, prêtre clerc prébandé en la Sainte-Chapelle du Vivier en Bois( ?), frère du défunt Charles DU VAL.

[168A–822] Le 15 mai 1628. Inventaire après le décès de Claude TARTARIN, maître rôtisseur à Paris. A la requête de honorable homme Jean BAUDIN, maître chandelier en suif, bourgeois de Paris, demeurant ès faubourgs Saint-Jacques, au nom et comme exécuteur du testament du défunt, et encore comme créancier d’icelui défunt. En la présence de Marie HULLIN veuve du défunt, assistée de maître Jean Paris, procureur au Châtelet de Paris, de Olivier CORNILLON, maître boulanger demeurant à Paris, rue de la Huchette paroisse Saint-Séverin, au nom et comme tuteur de Barthélemy TARTARIN, âgé de 18 ans ou environ, et de Marie TARTARIN, âgée de un an ou environ fille mineure dudit défunt et d’elle, de Edmé TARTARIN, aussi maître rôtisseur à Paris, demeurant près la porte Saint-Victor, subrogé tuteur dudit Barthélemy TARTARIN, et de Nicolas LIEPPE, marchand de foin demeurant rue Mortellerie, paroisse Saint-Gervais, subrogé tuteur de ladite Marie TARTARIN, de Barthélemy LANGLOIS, maître rôtisseur à Paris, demeurant près le grand Châtelet, paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois, en son nom à cause de Catherine TARTARIN, sa femme. Lesdits Barthélemy, Catherine et Marie TARTARIN, habile à se dire et porter héritiers du défunt leur père. Aussi en la présence d’autres créanciers. Les biens étant en la maison où il est décédé, sise rue du Petit-Pont.
(vue 829) cote 11 : 1626 – Contrat de mariage Claude TARTARIN x Marie HULLIN. Hubert HULIN, père de la future.
(vue 831) cote 18 : 1625 – Inventaire après le décès de Claude MORICE, à la requête dudit Claude TARTARIN son mari, tant en son nom que comme tuteur de Catherine, 20 ans, Barthélemy, 14 ans ou environ, leurs enfants mineurs.

A plus tard,
Christophe.
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Et encore deux mailles à l'endroit (j'espère) :

[168A - 785] 29 février 1628 – Inventaire dressé après le décès de feu Nazaire CHAUSSEFOING, procureur en la cour de parlement, à la requête de Me Simon GORLIDOR, aussi procureur en la cour de parlement, demeurant rue du Foin, paroisse Saint-Séverin, en son nom à cause de Catherine CHAUSSEFOING sa femme, Me Jean PETIT, aussi procureur en ladite cour, demeurant en ladite rue et paroisse, en son nom, à cause de Marthe CHAUSSEFOING sa femme, et Charles MESNAGE, bourgeois de Paris, y demeurant, faubourg Saint-Germain, paroisse Saint-Sulpice, subrogé tuteur de Nazaire AUROUX, à présent religieux novice au couvent des Mathurins à Paris, fils de Me Balthazar AUROUX, avocat en ladite cour, et de défunte Geneviève CHAUSSEFOING jadis sa femme, duquel mineur le défunt était tuteur, lesdites Catherine et Marthe CHAUSSEFOING avec ledit mineur habiles à se dire et porter seuls héritiers dudit feu Me Nazaire CHAUSSEFOING leur père et aïeul.
Les biens étant dans des appartenances de la maison où demeure ledit PETIT.
(vue 793) cote 1 : 1582 - contrat de mariage entre ledit Nazaire CHAUSSEFOING et Jeanne CHAPPET.
(vue 793) cote 2 : 1618 – inventaire après décès de ladite Jeanne CHAPPET.
(vue 794) cote 4 : 1611 – contrat de mariage entre lesdits Balthazar AUROUX et Geneviève CHAUSSEFOING.

[168A - 800] 1 mars 1628 – Inventaire dressé après le décès de feue Marie HEBERT, à la requête de son veuf Nicolas LEGENDRE, huissier sergent à verge au Châtelet de Paris, y demeurant rue Saint-Jacques, paroisse Saint-Séverin, tant en son nom que comme tuteur de leurs enfants mineurs Claude LEGENDRE, âgé de 8 ans, Marguerite LEGENDRE, âgée de 6 ans, Geneviève LEGENDRE, âgée de 4 ans et Louis LEGENDRE, âgé de 2 ans 3 mois ou environ, en la présence de Me Louis HEBERT, procureur au Châtelet de Paris, demeurant rue du Four, paroisse Saint-Eustache, subrogé tuteur desdits mineurs, habiles à se dire et porter héritiers de ladite défunte leur mère.
Les biens étant en la maison du Plat-d’Étain, susdite rue.
(vue 804) Le dit veuf déclare des dettes qui lui seraient dues par la succession de son beau-père Me Jean HEBERT qui a demeuré avec lui durant 6 ans, et par son beau-frère Claude HEBERT, demeurant au logis de monsieur le cardinal de Richelieu. Ledit Me Louis HEBERT fils dudit feu Me Jean HEBERT.
(vue 804) cote 2 : 1591 – lettre ; Eustache LEGENDRE père dudit Nicolas LEGENDRE.
(vue 804) ledit Nicolas LEGENDRE déclare lui appartenir une petite maison héritée de ses père et mère, sise à Melun, rue de Boissettes.
(vue 805) cote 4 : 1614 - contrat de mariage entre lesdits Nicolas LEGENDRE et Marie HEBERT.

Rare de trouver une rue d'une ville de province...

Bonne journée et à bientôt.
Christophe, j'ai corrigé le numéro de ton 822 (tu avais remis 772).
JD
bertrandg
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Bonjour à tous,

Ma lecture du jour :
[168A - 689] 22 décembre 1627 - Inventaire après le décès de noble Pierre de GAMACHES, avocat en la Cour de Parlement de Paris, à la requête de demoiselle Marguerite BALLON, sa veuve, demeurant au faubourg Saint-Germain des Prés, rue du Fossoyeur, paroisse Saint-Sulpice, tutrice de Marie de GAMACHES, âgée de 16 ans, Jean de GAMACHES, âgé de 15 ans, leurs enfants mineurs. Aussi à la requête de noble Charles de GAMACHES, prieur de Dannemarie, demeurant à Paris, cloître et paroisse Saint-Benoit, fils émancipé du défunt et de sadite veuve. En la présence de noble maître Nicolas ROLLAND, docteur en la faculté de médecine de Paris, demeurant rue Berthin, paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois, subrogé tuteur des mineurs. Lesdits Charles, Marie et Jean de GAMACHES habiles à se porter héritiers du défunt et de défunte demoiselle Catherine ROLLAND, au jour de son décès veuve de feu noble Jean de GAMACHES, vivant avocat en ladite Cour, leur aïeul et aïeule, et de feu Messire Philippe de GAMACHES, vivant docteur en théologie professeur au service du Roi et en ladite faculté, abbé de Saint-Julien de Tours, leur oncle.
(vue 699) cote 1 : 24 novembre 1564 - contrat de mariage de Jean de GAMACHES et Catherine ROLLAND, reçu Doujat et Thierriot, notaires.
cote 5 : testament non signé et non daté écrit de la main de ladite demoiselle Catherine ROLLAND.
(vue 711) cote 90 : 18 juillet 1625 - testament de défunt jean de GAMACHES reçu de Saint Vaast et de Monroussel notaires.
en tout 107 cotes de titres.

quelques rajouts en rouge

Bertrand
Last edited by bertrandg on 14 September 2020, 13:31, edited 2 times in total.
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J'en pose deux autres :

[168A - 848] 30 juin 1628 – Inventaire dressé après le décès de feu noble homme Me Philippe GRESLET, avocat en la cour de parlement, à la requête de sa veuve damoiselle Marie GOHORY, demeurant à Paris, rue Percée, paroisse Saint-Séverin, tant en son nom que comme tutrice créée et ordonnée au Châtelet de Paris aux personnes et biens de leurs enfants mineurs Madeleine GRESLET, âgée de 6 ans et demi environ, Marie GRESLET, âgée de 20 mois ou environ, et du posthume dont elle est enceinte, en la présence de Me Louis BERNABÉ, aussi avocat en ladite cour, demeurant rue et paroisse Sainte-Croix en la Cité, subrogé tuteur desdits mineurs.
(vue 863) cote 1 : 1612 - contrat de mariage entre ledit Philippe GRESLET et damoiselle Marie LEMASSON, fille de Me Guillaume LEMASSON.
(vue 864) cote 2 : 1618 - contrat de mariage entre lesdits Philippe GRESLET et damoiselle Marie GOHORY.

[168A - 871] 6 juillet 1628 – Inventaire dressé après le décès de défunt Me Jean HEBERT, commis au greffe civil du Châtelet de Paris, à la requête de Me Louis HEBERT, procureur au Châtelet de Paris, demeurant rue du Four, paroisse Saint-Eustache, tant en son nom que comme procureur de Me Claude HEBERT son frère, l’un des secrétaires de Monsieur le Cardinal de Richelieu, par procuration passée au Pont de la Pierre, près de la Rochelle (17690 Angoulins-sur-Mer), et à la requête de Nicolas LEGENDRE, sergent à verge audit Châtelet, demeurant rue Saint-Jacques, paroisse Saint-Séverin, au nom et comme tuteur de Claude LEGENDRE, Marguerite LEGENDRE, Geneviève LEGENDRE et Louis LEGENDRE, enfants mineurs de lui et de défunte Marie HEBERT jadis sa femme, lesdits Louis et Claude HEBERT et lesdits mineurs habiles à se dire et porter héritiers du défunt, père desdits Louis et Claude HEBERT et aïeul desdits mineurs.
Les biens étant en la maison du Plat-d’Étain, rue Saint-Jacques.
(vue 873) cote 5 : 1621 – contrat ; Jean HEBERT, huissier sergent à cheval, frère desdits Louis et Claude HEBERT.
(vue 874) cote 8 : 1619 – inventaire après le décès de Marie DE BOUVILLIER, femme dudit Me Jean HEBERT père.
(vue 873) cote 12 : 1625 – sentence ; Denise CHENU veuve de défunt Jean HEBERT.

Bonne soirée à tous.
JD
cdemaz
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Bonsoir Bertrand,

Je lis :
Philippe de GAMACHES, vivant docteur en théologie professeur à Paris du Roi en ladite Université, et abbé de Saint-Julien de Tours.
Mais les mots semblent dans le désordre.
C'était « Une des gloire de la Sorbonne » selon Scholasticon.

Je ne livrerai rien ce jour. Na !

Bonne soirée.
Christophe.
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Bonjour à tous, :)
jdp1 wrote: 10 September 2020, 09:42 Christophe, j'ai corrigé le numéro de ton 822 (tu avais remis 772).
Merci JD, c'est bien le risque du copié-collé, associé à une inattention :roll:

petit accroissement à notre liste :

[168A–833] Le 31 mai 1628 – Inventaire après les décès de Anet LONGUET, maître raccoutreur de bas de soie et d’estame à Paris, et de Catherine CHARTIER jadis sa femme. A la requête de Pierre COCHOIS, commis à la conduite des bagages du conseil d’état et privé du Roi demeurant à Paris, rue du Foin, paroisse Saint-Séverin, au nom et comme tuteur de Claude LONGUET, âgée de 4 ans ou environ, fille mineure des défunts. Et en la présence de Germain PICOT, boulanger de gros pain demeurant au faubourg Saint-Honoré, subrogé tuteur de ladite mineure. Les biens étant en la chambre et garde robe au dessus, où les défunts sont décédés de la maladie contagieuse, dépendant d’une maison sise sous les piliers des Halles, où est pour enseigne le Nom de Jésus. (vue 536) 14 juillet 1628, à la requête de Spire GAUDERON, maçon en plâtre demeurant à Montlhéry, à présent tuteur au lieu dudit Pierre COCHOIS, aux personne et biens de ladite Claude LONGUET, mineure.

[168A–842] Le 21 juin 1628 – Inventaire de papiers après le décès de maître Lancelot dit Grongnet de VASSÉ, chevalier des ordres du Roi, et baron de Vassé, d’Esguilly et autres lieux. A la requête de maître Jacques HURAULT, chevalier de l’ordre du Roi, conseiller en ses conseils, maître de camp d’un régiment de gens de pied français, seigneur et marquis de Vibraye, demeurant en sa maison audit Vibraye (72320), étant de présent à Paris, au nom et comme tuteur honoraire de damoiselle Marguerite de VASSÉ, âgée de 8 ans et de Henri François de VASSÉ, âgé de 5 à 6 ans, enfants mineurs de défunt maître François Henri de VASSÉ, chevalier seigneur et baron de Vassé, de la Roche Mabille, et de dame Renée LECORNU de LACOURBÉ, à présent femme de maître Jean LEMAIRE, chevalier sieur de Millières, par acte du 8 juin 1628. En continuant l’inventaire fait à la requête dudit sieur de VIBRAYE, exécuteur du testament de feu maître Lancelot dit Grongnet de VASSÉ, aïeul desdits mineurs, et duquel ils sont habiles à se dire et porter héritiers le 22 avril 1628 par Gaudin, greffier du bailliage de Saint-Germain-des-Prés.
(Vue 843) cote 1 : 1613 – Messire Lancelot de VASSÉ, chevalier, sieur et baron dudit lieu et dame Françoise de GONDY son épouse, ayant les droits cédés de messire Henri de GONDY, alors évêque de Paris. Me Philippe Emmanuel de GONDY, chevalier seigneur du Plessis, général des galères et de messire Jean-Baptiste de GONDY, et messire Denis HERBERT, ci-devant héritier par bénéfice d’inventaire de défunt Julien HERBERT, son père, défendeur.

Merci Pascal, content de te revoir. Comment vas-tu ?
jdp1 wrote: 11 September 2020, 18:54 J'en pose deux autres :
et je retiens les 901 et 903 STP.

A bientôt
Christophe.
Last edited by cdemaz on 12 September 2020, 20:55, edited 1 time in total.
cdemaz
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Bonsoir la compagnie, :)

quelques lignes :

[168A–901] Le 23 août 1628 – Inventaire après le décès de Jacques LORY (LORRY), peintre. A la requête de Madeleine LOMBART, sa veuve, demeurant rue aux Ours (aux Oues), paroisse Saint-Leu-Saint-Gilles, tant en son nom que comme tutrice de Nicole LORY, âgée de 10 ans ou environ, leur fille. En la présence de Jacques DESJARDINS (DEJARDIN), maître tourneur de bois demeurant en ladite rue et paroisse.

[168A–903] Le 27 septembre 1628 – Inventaire après le décès de François RENOUARD, maître tonnelier à Paris. A la requête de Marie MINET / MIVET, sa veuve demeurant à présent rue Pavée, paroisse Saint-Sauveur, en la maison et … de noble homme maître Pierre Chesnnot, receveur du domaine de Normandie, sise rue Pavée, derrière l’hôtel de Bourgogne, tant en son nom que comme tutrice (tuition du 26 septembre 1628) de François RENOUARD, âgé de 5 ans et demi ou environ, fils mineur du défunt et d’elle. En la présence de Benjamin POUJET (signe POUGET), suivant les finances, demeurant dite rue Pavée, subrogé tuteur dudit mineur.
(vue 905) cote 1 : 1618 – Contrat de mariage François RENOUARD x Marie MIVET.

907 et 914 STP.
A demain
Christophe.
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Bon dimanche à chacun, :)

je dépose ceci :

[168A–907] Le 18 novembre 1628 – Inventaire après le décès de honorable femme Renée GODIN. A la requête de son mari, maître Nicolas PORLIER, bourgeois de Paris, y demeurant rue des Noyers, paroisse Saint-Etienne-du-Mont, tant en son nom que comme tuteur créé à la personne et biens de Geneviève PORLIER, âgée de 6 ans et demi ou environ, leur fille mineure, par acte du 13 mai 1628. Et en la présence de maître Jean PORLIER, procureur au bailliage de Montmorency (95160), y demeurant, oncle et subrogé tuteur de ladite mineure. Les biens étant en une chambre où ledit PORLIER père était demeurant lors du décès de ladite GODIN, dépendant d’une maison sise rue Hautefeuille, appartenant à monsieur Perot, conseiller en Parlement.
(vue 912) cote 2 : 1628 – Echange par ledit Nicolas PORLIER et maître Claude PORLIER son frère.

[168A–914] Le 29 novembre 1628 – Inventaire après le décès de noble Nicolas MAIGNAT (MAGNAT), bourgeois de Paris. A la requête de dame Elisabeth BEAUCHAMP, sa veuve demeurant rue Saint-Jacques, paroisse Saint-Séverin, tant en son nom que comme tutrice de Claude, âgé de 18 ans ou environ, Antoine, âgé de 14 ans ou environ, Nicolas, âgé de 12 ans ou environ, et Anne MAGNAT, âgée de 10 ans ou environ, leurs enfants mineurs, et encore comme exécutrice du testament du défunt. Aussi à la requête du sieur Antoine ANDREOSY, bourgeois de Paris, y demeurant rue et paroisse Saint-Séverin, exécuteur avec ladite veuve du testament du défunt. En la présence de maître Abel MAGNAT, conseiller de la maison de monsieur le prince de Condé, demeurant à Villeneuve-Saint-Georges (94190), cousin et subrogé tuteur desdits mineurs. Les biens étant en la maison où il est décédé dite rue Saint-Jacques.
(vue 929) cote 15 : 1607 – Contrat de mariage entre ledit Nicolas MAGNAT x Isabelle BEAUCHAMPS, fille de défunt honorable homme Pierre BEAUCHAMP et de Marguerite DEBOIE alors sa femme à présent sa veuve. Lesdits BEAUCHAMP et sa femme promettent donner auxdits lors futurs époux 4 500 livres. Attaché au contrat de mariage, un contrat d’également de 1626 fait par ledit défunt BEAUCHAMPS et ladite DEBOIE sa femme, à Germain BEAUCHAMP, écuyer, exempt des gardes du corps du Roi, Louis BEAUCHAMP, ledit défunt (Nicolas) MAGNAT et Isabelle BEAUCHAMP sa femme, maître Ponce SAUVAGE, procureur au Châtelet et Nicole BEAUCHAMP sa femme (égalisation à 15 000 livres).
(vue 931) cote 17 : 1628 – Ledit défunt MAGNAT condamné à payer à Barbe MAGNAT sa sœur, 3 300 livres.
(vue 932) cote 22 : 1589 – Claude MAGNAT.
(vue 933) cote 27 : 1627 – Barbe MAGNAT, veuve de François LADVOCAT, héritière pour moitié de défunte Nicole ROSTY, sa mère. (Nicole ROSTY jadis femme en dernières noces de Hugues LEFEBVRE – cf. cotes 19-20-21)
(Vue 934) cote 29 : 1627 – Ledit défunt sieur MAGNAT tant en son nom comme héritier pour moitié de ladite défunte Nicole ROSTY, sa mère, que comme exécuteur de son testament.
(vue 934) cote 30 : 10 novembre 1628 – Testament dudit défunt sieur MAGNAT.
(vue 934) cote 31 : 17 novembre 1628 – Tuition desdits mineurs : Isabelle BEAUCHAMP élue tutrice et Abel MAGNAT, subrogé tuteur.
(vue 934) cote 32 : 1627 – Inventaire des titres et papiers après le décès de Nicole ROSTY, à la requête de ses enfants Barbe et Nicolas MAGNAT.
(vue 935) cote 33 : Une promesse de 1614, qui est de la succession de feu maître Nicolas MAGNAT le jeune, frère dudit défunt (Nicolas) MAGNAT et de ladite Barbe MAGNAT.

Le prénom du sieur SAUVAGE m’a donné un peu de mal, on le trouve dans plusieurs acte de la SIV affublé par erreur du Prénom Pierre, mais il s’agit de Ponce (Ponse).

Bon et bien je termine maître Antoine avec le 940 STP, alors ! Avant de passer à la suite, et là, accrochez-vous, on va remonter dans le temps de près de 100 ans !

A bientôt
Christophe
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Bonjour à tous, :)

Voici donc le dernier de cette liasse :

[168A–940] Le 29 décembre 1628 – Inventaire après le décès de maître Jean MASSET, avocat en Parlement. A la requête de honorable femme Geneviève DUCLOS, sa veuve, demeurant à Paris, rue des Anglais, paroisse Saint-Séverin, tant en son nom que comme créancière de la succession du défunt son mari. Et en la présence de honorable homme Jacques LEBRETON, maître faiseur d’espinettes du Roi, demeurant à Paris, rue Saint-Jacques, paroisse Saint-Etienne-du-Mont, au nom et comme curateur de Marie MASSET, émancipée par justice, sous l’autorité dudit LEBRETON, fille mineure dudit défunt et de ladite( ?) veuve, héritière par bénéfice d’inventaire du défunt son père. Les biens étant en la maison où il est décédé, en ladite rue des Anglais.
(vue 947) cote 1 : 1603 – Contrat de mariage Jean MASSET x Geneviève DUCLOS.
(vue 952) cote 16 : 1603 – Entre Pierre PLASTEAU, manouvrier demeurant à Vignely (77450) près Trilbardou et Marie MASSET sa femme, à maître Jean MASSET, maître ès arts en l’Université de Paris, vente de tous les droits successifs mobiliers et immobiliers provenant de la succession de défunt maître Germain MASSET son oncle, dont icelle femme était héritière pour un tiers, et comme donatrice de me Jean MASSET son frère, aussi héritier pour un tiers dudit Germain MASSET.
(vue 953) cote 23 : 1607 – Compte rendu de tuition par Philippe MESSIER à Geneviève DUCLOS, fille et seule héritière de défunts maître Jean DUCLOS, avocat en Parlement et Marguerite BOUCHER ses père et mère, et à maître Pierre DUCLOS, oncle et subrogé tuteur de ladite Geneviève DUCLOS.

Avec un lieu qui résiste :? J'ai trouvé, ce n'est pas Vingly, mais Vignely !

A bientôt ailleurs, chez maître Dunesme :
https://www.geneanet.org/forum/viewtopic.php?t=669989

Christophe.
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Clap de fin:

[168A - 883] 18 juillet 1628 – Inventaire avant mariage, dressé à la requête de Pierre COCHOIS, racoustreur de bas de soie et d’étame à Paris et commis à la conduite des bagages du Conseil, demeurant rue du Foin, paroisse Saint-Séverin, en une maison appartenant au couvent des Mathurins, et en la présence de Nicole LEGROS, veuve de défunt Pierre HARDOIN, aussi racoustreur de bas de soie et d’étame à Paris, son accordée, suivant leur contrat de mariage.

[168A - 887] 18 août 1628 – Inventaire dressé après le décès de feu Martin BONVUILLAU / BONGUILLAU, marchand hôtelier, à la requête de sa veuve Marie BRUNET, demeurant ès faubourg Saint-Michel, en la maison du Roi-François, paroisse Saint-Côme, en son nom à cause de leur communauté, et comme créancière de la succession d’icelui défunt ; en la présence et requête de Jean BONVUILLAU et Simon BONVUILLAU, sergents royaux demeurant à Étampes, tant en leurs noms que se faisant forts d’Agathe BONVUILLAU leur sœur, veuve de feu Thomas GUISENET, marchand demeurant à Cloufontaine paroisse de Rampillon en Brie (77370 Clos-Fontaine), lesdits Jean, Simon et Agathe BONVUILLAU habiles à se dire, porter et nommer seuls héritiers dudit défunt leur frère.
Les biens montrés par ladite veuve et par Judith BRUNET sa sœur.
(vue 895) cote 1 : 1608 - contrat de mariage entre lesdits BONVUILLAU et BRUNET, fille de Denis BRUNET, demeurant à Illiers (28120 Illiers-Combray) en Beauce, et de Judith LEMASSON.
(vue 899) cote 35 : 1624 - contrat ; lesdits BONVUILLAU héritiers de défunts Martin BONVUILLAU l’aîné, marchand demeurant à Corbreuse (91410) et Noëlle PECAULT leurs père et mère.

Merci Christophe
Enclenchons donc la machine à remonter le temps...
JD
jeanpaumelinon
jeanpaumelinon
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Bonjour à tous,

Et voici le clap de Post scriptum !!!
Oculos.jpg
Le 877 semble être passé à la trappe ... :D
Cordialement
Jean Paul
bertrandg
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Oui, le 877 m'était attribué, et je ne l'avais pas traité en effet.

Voilà le retard comblé de ce pas...

[168A - 877] 10 juillet 1628 - Inventaire après le décès de défunte Marguerite MAVRÉ, à la requête de Pierre REBOURS, son mari, sergent à verge au châtelet de Paris, demeurant rue des Noyers, paroisse Saint-Benoit, tuteur de Michel REBOURS, âgé de 18 ans et de Gervais REBOURS, âgé de 11 ans, leurs enfants mineurs. En présence de François REBOURS, huissier sergent à cheval au châtelet de Paris, y demeurant rue Gallande, paroisse Saint-Severin, subrogé tuteur des mineurs.
(vue 881) cote 1 : 4 octobre 1609 - contrat de mariage entre Pierre REBOURS et Marguerite MAVRÉ, reçu Le Gay et Berthou notaires.

Et voilà, c'est fait !

Bonne journée à tous.

Bertrand
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