Bonjour à tous,
Et revoilà
du COURROY qui s’occupe de la
transmission de deniers pour une tutelle. Ce qui somme toute, est assez normal.
[224–150] Le 20 janvier 1579 – Bref inventaire des quittances parties mémoires missives, faisant mention des deniers, par défunt noble homme maître Jérôme DUCOURROY, sieur de Chandry, au nom et comme tuteur et curateur des enfants mineurs de défunt noble homme Nicolas de MESMES, sieur de Bajollet et de damoiselle Jeanne MATHIEU, jadis sa femme ; frayés et déboursés de son vivant pour lesdits mineurs.
Quittances signées PETIT, père curé de Marolles (60890). Jean ROUSSEAU, vigneron. Nicolas ROBERT. Mathieu de LOR, maître en fait d’armes. Sœur Louis
e de HACQUEVILLE, mère ancelle. Jacques MESMES. VOYSIN, Pierre MARCHANT, DUPONT, FILLEUL l’aîné, BLIGNI, P. CARON, de LA VALLÉE, Anne MARCHEBOUE, mère ancelle, Jean GILLET l’aîné demeurant à Marolles, Jean LOREAU demeurant au moulin à vent de Marolles, François BRISARD demeurant à Marolles, etc.
Vue 175 : 1578 – Procès verbal de la description de plusieurs meubles étant en la maison de Marolles, appartenant aux enfants du défunt Nicolas MESMES, fait à la requête de noble homme François du CAURROY.
Vue 175 : 1574 – Procès verbal de vente des meubles faite à la requête de maître Philippe BAZANIER, avocat à la cour, exécuteur du testament de défunte damoiselle Jeanne MATHIEU, veuve de Nicolas MESMES.
Maître François du COURROY, secrétaire de monseigneur frère du Roi, au nom et comme procureur de damoiselle Marie COURTIN, veuve de maître Valentin du COURROY, avocat en la cour de Parlement, au nom et comme tutrice et ayant la garde noble de Guillaume du COURROY, héritier seul par bénéfice d’inventaire de défunt maître Jérôme du COURROY, aussi avocat en ladite cour, notaire et secrétaire du Roi, fondé de procuration par-devant Houdayer, notaire au bailliage de Blois le 5 décembre 1578, qui confesse audit nom avoir reçu de damoiselle Geneviève DASGNYERES, veuve et exécutrice du testament dudit Jérôme du COURROY, les parties, mémoires, missives et autres, contenus dans ce bref inventaire.
[224–176] Le (…)
mai 1579 – Inventaire après le décès de honorable femme Perrette LEVERDE. A la requête de Nicolas BRICART (BRICQUART), maître affineur départeur d’or et d’argent, bourgeois de Paris, exécuteur du testament de la défunte jadis sa femme, et encore en son nom et comme tuteur et curateur de Nicolas BRICART, 4 ans ou environ, leur fils mineur. Et en la présence de Bonaventure LEVERDE, aussi maître affineur départeur d’or et d’argent, bourgeois de Paris, frère de la défunte, et subrogé tuteur dudit mineur. Les biens étant en une maison où la défunte est décédée, sise à Paris, rue Saint-Germain-de-l’Auxerrois.
Vue 191 : 18 juin 1578 – Vente par Pierre BRICQUART, marchand de vins, bourgeois de Paris et
Céline FAINENGÉ, sa femme, audit Nicolas BRICQUART.
Vue 192 : 1577 – Jean BRICQUART, maître affineur bourgeois de Paris, frère dudit Nicolas BRICQUART.
Vue 193 : 1570 – Vente à Marguerite GOURLIN, veuve de Jean LEVERDE, maître affineur à Paris, et Nicolas BRICQUART son gendre, de la maison sise rue Saint-Germain-de-l’Auxerrois, où est pour enseigne sur la porte et entrée d’icelle
l’Image Saint-Sauveur, où ledit BRICQUART était alors demeurant.
Vue 194 : 13 janvier 1579 – Nicolas LEVERDE, marchand mercier bourgeois de Paris et Catherine RICOUARD sa femme, délaissent à titre de rente audit Nicolas BRICART, la 4e partie par indivis de la maison de
l’Image Saint-Sauveur rue Saint-Germain-de-l’Auxerrois, appartenant auxdits LEVERDE et sa femme par le décès de Marguerite GOURLIN.
Vue 195 : 8 avril 1579 – Testament de la défunte.
Cet acte est entre le 8 avril 1579 (date du testament de la défunte), et le 6 juillet 1579 (date du remariage du veuf avec Denise de RIBÉROLLES, voir la SIV).
227 et 2
33 STP.
Merci.
Christophe.